tag:blogger.com,1999:blog-5833294038057637573.post7358337221266360546..comments2024-01-01T21:27:28.568+01:00Comments on Bibliothèque Dauphinoise: Un témoignage extraordinaire sur la société haute-alpine du XIXe siècle.Jean-Marc Barfétyhttp://www.blogger.com/profile/09575774658726860185noreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-5833294038057637573.post-50746838360486559042017-12-06T02:29:25.360+01:002017-12-06T02:29:25.360+01:00joli un petit bijou cet homme devait écrire sur ce...joli un petit bijou cet homme devait écrire sur ces lames de parquet car il devait avoir l'âme d'un artiste Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5833294038057637573.post-487803419955945072017-11-22T09:57:11.052+01:002017-11-22T09:57:11.052+01:00Amusant, je découvre cette note alors que je suis ...Amusant, je découvre cette note alors que je suis en train de lire ce livre.<br />Sur l'étalage du libraire, ce qui m'a d'abord accroché l’œil, c'est le tableau de Caillebotte en couverture. Les Hautes Alpes ont décidé l'achat. La couverture est d'ailleurs particulièrement bien choisie, puisque "les raboteurs de parquet" est de 1875, soit en gros contemporain des faits relatés dans l'ouvrage.<br />J'aime beaucoup ce livre, il nous plonge dans une époque intéressante. L'auteur a fait un fabuleux travail de recherche. <br />Une seule petite réserve : on nous survent un peu le plancher de Joachim. En fait, mis bout à bout, ses écrits font 11 pages sur les 250 du livre. Disons que c'est le point de départ.Christian BURDET.noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5833294038057637573.post-16626981229997752072017-11-17T18:27:33.175+01:002017-11-17T18:27:33.175+01:00Je vais acheter cela tout de suite... réjouissant ...Je vais acheter cela tout de suite... réjouissant !<br />XavierAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5833294038057637573.post-17612355117513961612017-11-15T22:02:15.490+01:002017-11-15T22:02:15.490+01:00Merci pour vos commentaires.
Tenir ce journal sur ...Merci pour vos commentaires.<br />Tenir ce journal sur des lames de parquet l'assurait de ne pas être lu avant de nombreuses années. Comme il le dit : "Heureux mortel. Quand tu me liras, je ne serai plus." Cela lui permet de dire crûment ce qu'il pense, comme par exemple lorsqu'il dit de sa femme : "n'ayant jamais vu aucune pine avant son mariage avec moi". L'aurait-il écrit dans un carnet, qu'il courait le risque d'être découvert.<br />Tous les parquets du château de Picomtal n'ont pas été démontés. Peut-être qu'il reste encore des planches écrites par Joachim Martin à découvrir.Jean-Marc Barfétyhttps://www.blogger.com/profile/09575774658726860185noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5833294038057637573.post-80855615241761316272017-11-15T07:44:41.116+01:002017-11-15T07:44:41.116+01:00Cette histoire me réjouit !
Merci...
Cette histoire me réjouit !<br />Merci...<br />sylviedamhttp://www.sylviedamagnez.canalblog.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5833294038057637573.post-68282794661881191322017-11-14T23:03:43.665+01:002017-11-14T23:03:43.665+01:00Très bon compte rendu qui donne envie de lire ce l...Très bon compte rendu qui donne envie de lire ce livre. Mais pourquoi donc tenir une sorte de journal sur des lames de parquet quand il aurait été plus simple de l'écrire dans un cahier?!. Le texte aurait très bien pu ne jamais être retrouvé ! Textorhttps://www.blogger.com/profile/12634832617884133747noreply@blogger.com